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Le séjour de l’attaquant Elias Lindholm chez les Canucks de Vancouver pourrait être plus court que prévu si les performances du hockeyeur et de son équipe sont insatisfaisantes.
Acquis des Flames de Calgary le 31 janvier dans une transaction envoyant en Alberta le joueur d’avant Andrei Kuzmenko, le pivot tarde à produire cette saison. Il a récolté 32 points en 49 sorties à Calgary, avant d’ajouter quatre buts et trois mentions d’aide en 19 affrontements avec sa nouvelle équipe.
Terminant un contrat de six ans et de 29,1 millions $, il deviendra admissible au marché de l’autonomie cet été et il risque bien d’offrir ses services aux autres formations de la Ligue nationale.
«Initialement, quand nous avons effectué cet échange, j’ai parlé à son camp et notre intention était de le réembaucher. Cependant, ça doit évidemment fonctionner des deux côtés. Nous verrons. Je pense qu’il y a eu une période d’ajustement chez lui. Et en toute franchise, l’équipe au complet n’a pas joué de manière exceptionnelle. Nous savions que le calendrier de février allait être difficile en termes de travail. Ce fut compliqué et on a fini avec une fiche de ,500, ce qui constitue la raison pour laquelle nous sommes toujours en tête», a déclaré le directeur général des Canucks, Patrik Allvin, au site The Athletic.
Lindholm, 29 ans, a connu sa meilleure année en 2021-2022 lorsqu’il a amassé 42 buts et 40 aides pour 82 points en autant de duels avec les Flames. Comptant 92 points, Vancouver accueillera les Sabres de Buffalo, mardi, puis le Canadien de Montréal deux jours plus tard.
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