Coupe du monde de patinage de vitesse: un patineur québécois rate sa sélection pour le championnat mondial | Maqvi News

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Par sept petits centièmes de seconde, Cédrick Brunet a raté sa qualification pour le championnat mondial par distance, mais le sprinter de 23 ans estime qu’il s’en va dans la bonne direction.

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Dans une course sans lendemain présentée ce midi à la Coupe du monde de patinage de vitesse longue piste à Québec, Brunet devait réaliser le meilleur temps sur 500 mètres parmi les Canadiens.

Jumelé à Yankun Zhao, il a terminé au 8e rang du groupe B avec un chrono de 35 s 32, comparativement à 35 s 25 pour le patineur de Calgary qui obtient le deuxième et dernier laissez-passer pour le mondial. Préqualifié pour le mondial, Laurent Dubreuil possède l’autre entrée du Canada.

«C’est crève-cœur de rater le mondial par 0 s 07, mais c’est motivant pour le futur, a-t-il résumé. Je ne peux pas être déçu. J’ai réussi mon meilleur temps en carrière au niveau de la mer. On s’est battu jusqu’à la fin et il a réussi un meilleur dernier virage pour me devancer. Depuis le début de la saison, ce fut difficile sur le plan de l’exécution et, aujourd’hui, j’ai réussi l’une de mes meilleures courses de l’année.»

Propulsé à l’avant-plan avec une deuxième place aux sélections canadiennes en octobre 2021 à Calgary, où il avait surpris tout le monde y compris lui-même, Brunet a depuis pris quelques pas de recul.

«J’ai appris à courir avant d’apprendre à marcher, a-t-il illustré. Le patinage de vitesse est un sport très technique et j’ai dû apprendre la base. Rater la Coupe du monde à l’hiver 2023 et cet automne m’ont ramené sur terre. Je me suis posé des questions. J’ai atteint le fond du baril tant physiquement que mentalement.» 

«À l’école quand tu étudies fort, tu obtiens un bon résultat à l’examen, mais ça ne fonctionne pas de la même façon dans le sport, de poursuivre le patineur natif de Gatineau. Ce n’est pas facile la vie d’athlète. Quand tu vis un bas comme athlète, c’est ce que je trouve le plus difficile. Quand tu vis un haut, tu es sur un nuage.»

Chez les femmes, Rose Laliberté-Roy s’est retrouvée dans une situation identique. Avec un temps de 39 s 32, elle a pris le 3e rang du groupe B parmi les Canadiennes au départ et doit elle aussi oublier le championnat mondial.

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